mardi 31 octobre 2006

Offre d'emploi

Je suis en train de réfléchir à comment je peux faire évoluer la boite à clics.

Je cherche donc un (ou des) partenaire(s), un (ou des) collaborateur(s), un (ou des) stagiaire(s)... Je sais pas encore.

J'étudie toutes propositions comme ils disent dans les petites annonces.

Vous aimez le Net ? Vous vous intéressez à la pub ? Vous êtes autonome ? Vous parlez anglais ? Vous êtes un peu aventurier dans l'âme ?

Contactez Bart !


L'image vient de chez ces gens là.

lundi 30 octobre 2006

Les plateformes d'affiliation et le lien de tracking

La publicité à la performance (CPA et CPC) à ouvert la publicité à un nombre incalculable de sites Web, blogs et autres pages perso.

Mais ça pose des problèmes de gestion. Comment gérer autant de supports. Les valider, les payer, leur fournir les éléments graphiques, etc.

Autre difficulté : le tracking. Pour le CPM, le tracking est facile : le site Web mesure les impressions de pages. Tout est basé sur le déclaratif du site.

Pour le CPC, l'annonceur et le site peuvent tracker tous les 2 et comparer leurs résultats. L'informatique a beau être une science exacte, et même très binaire, le tracking prouve que le clic lui n'est pas une science exacte. Il y a toujours des écarts entre le nombre de clics mesurés par un site et le nombre de visiteurs enregistré par l'annonceur. Mais l'écart est en général faible et les 2 parties peuvent s'accorder sur un volume moyen.

Pour ce qui est du CPA, là ça devient plus compliqué. Il s'agit de mesurer une inscription, une demande de doc, voire une vente ! Pas facile. Surtout que les intérêts du site et de l'annonceurs sont divergents. Le site veut un maximum d'actions pour être payé plus, l'annonceur a intérêt à déclarer un minimum d'actions pour payer moins.

Il a donc été nécessaire de passer par des tiers.

C’est comme ça que sont apparues les plateformes d’affiliation. Les plateformes d’affiliation se sont positionnées entre les annonceurs (ou leurs régies) et les sites Web.

Leur rôle est double : Premièrement, rassembler les programmes de communication des annonceurs et les proposer aux sites Web. Et inversement rassembler un maximum de sites Web potentiellement intéressés par les offres des annonceurs.

Deuxièmement, les plateformes d’affiliation ont pris en charge la gestion du tracking, se posant ainsi en intermédiaire indépendant n’ayant aucun intérêt à tricher sur le tracking dans un sens ou dans l’autre. Pour cela, elles ont développé des systèmes de tracking ultra performants, capable d'analyser l'ensemble des actions de l'internaute.

La technologie employée est compliquée, mais le système mis en place est relativement simple : les annonceurs présentent leurs programmes et leurs outils de communication (bannières, boutons, emails html, etc.) sur les plateformes, ainsi que le modèle (%, commission fixe, etc.) et le montant de la rémunération.

Les éditeurs de site Web s’inscrivent et demandent à être acceptés par les annonceurs pour relayer leur campagne (en effet, la plupart des annonceurs souhaitent sélectionner les sites Web qui font de la pub pour eux. Sont exclus d’office les sites pornos, les sites violents, etc.)

Une fois acceptés, les sites Web peuvent récupérer les éléments de communication, ainsi que, et c’est un élément important, les liens de tracking. Le lien de tracking est le lien qui va permettre d’envoyer l’internaute du site Web de l’éditeur vers le site Web de l’annonceur, et surtout de comptabiliser et suivre l’activité de l'internaute sur le site de l'annonceur. Le lien de tracking se compose donc de l’URL du site de l’annonceur, complétée par un code unique pour chaque site éditeur. L'internaute qui arrive sur le site de l'annonceur est donc identifié comme provenant du site correspondant au code.

C’est ce lien de tracking qui permet de comptabiliser le volume de visiteurs envoyés, leur activité, la durée de leur visite, leur action etc. et donc de déterminer la rémunération du site éditeur.

Le lien de tracking est donc un élément déterminant de la pub à la performance (CPC, CPA, CPL). C'est sur lui que repose toute la validité et l'intérêt du système.

Mais vous allez me dire : "Le lien de tracking, comme toute adresse internet, est valable dans l'instant. Peut on analyser l'activité d'un internaute sur une plus longue période ?"


Excellente question à laquelle je répondrai prochainement.

jeudi 26 octobre 2006

"Ce n'est pas parce qu'on a rien à dire qu'on a rien à vendre !"

J'aime bien cette fort judicieuse remarque, péchée sur ce blog, parodie du blog de Loic Lemeur.

Pour ceux qui ne connaissent pas, ce n'est pas grave, il vous suffit de savoir que c'est l'un des bloggueurs français qui ont la plus grosse audience sur le net, et qu'il vient de faire parler de lui récemment pour avoir accepté de faire un post (ou un billet comme disent certains) publi-rédactionnel. C'est-à-dire en fait une pub. Il n'a pas écrit le post. Il a recopié sur son blog un texte fourni par l'annonceur en mettant en titre : publicité. Il n'est pas le seul, un autre blog à forte audience a fait la même chose.

Et voilà que les internautes crient au scandale. De la pub sur un blog ! C'est scandaleux ! La pub est partout, nous envahie, nous pollue !

Non mais hé, arrêtez et regardez 2 minutes : y a de la pub sur tous les blogs !!! Sur certains car la plateforme est gratuite (c'est le cas de Blogger que j'utilise), sur d'autres car le bloggueur a mis des adsense, ou des programmes de vente type amazon. Sur d'autre encore car le bloggueur fait la pub pour tel site, tel blog, tel événement, telle association, etc.

La pub est arrivée sur les blogs dès le début. Les blogs n'étant qu'une extension du Net.

Non, en fait, ce qui choque les gens, c'est que dans le cas d'un post (billet) publirédactionnel, ils prennent la pub en pleine face. Pas moyen de regarder ailleurs. On vient sur un blog pour lire le dernier post de l'auteur, car on apprécie ce qu'il fait, et paf ! On se prend une violente pub dans la face !

C'est exactement ce qui se passe avec la TV quand on l'allume trop tôt pour voir l'excellent reportage sur les dégats causés encore 30 ans après par les mines antipersonnelles au Cambodge (par exemple) et qu'on tombe sur une page de pub.

Sauf que comme je le disais dans mon précédent post, l'internaute est actif, et pas passif comme le téléspectateur. Et il ne peut pas profiter de la page de pub pour aller aux toilettes, car à son retour la pub sera toujours là ! Il n'apprécie donc pas du tout de se prendre une publicité en pleine page.

Cela dit rien ne l'empêche de changer de page et de passer à autre chose. Ca viendra. Question d'habitude sans doute...

mercredi 25 octobre 2006

Les différents modèles (économiques) de la pub sur le Net

Avant Internet, l’expression « Seul devant son écran » avait tout son sens. L’ordinateur individuel permettait de travailler/jouer/étudier/gérer dans son coin. Point. L’utilisateur n’avait aucun contact avec le monde extérieur. Et utilisait des disquettes de 3 pouces 1/2 :D

Internet a transformé l’ordinateur individuel en maillon d’un gigantesque réseau, avec ouverture sur le monde extérieur. L’utilisateur est devenu internaute, avec un accès à une information extérieure, et de ce fait est devenu une audience. Qui dit audience, dit pub (pour preuve la polémique en ce moment sur les blogs sponsorisés).

La pub est donc apparue très naturellement sur le Net. Et au départ la Pub sur le Net a appliqué les mêmes méthodes que la pub sur les autres médias.

Seul le format a été différent dès le départ pour prendre en compte une dimension fondamentale : l’internaute, contrairement au téléspectateur ou à l’auditeur, n’est pas passif, mais actif. Pas question de lui « couper » son activité en envahissant son écran d’une gigantesque pub. Qu’à cela ne tienne, on mettra la pub dans un coin. En contrepartie, on pourra la laisser en permanence.

Ainsi sont apparus les bandeaux, bannières et autres boutons. Les premiers n’étaient pas forcément cliquables, puisque beaucoup d’annonceurs n’avaient pas encore de site Web. C’était donc une forme de pub très comparable à celle des magazines et payée d’ailleurs sur le même principe, au forfait sur une période donnée.

Mais très vite on s’est rendu compte des possibilités qu’offrait Internet en terme de tracking : possibilité de mesurer la fréquentation d’un site en nombre de visiteurs, en nombre de visiteurs uniques, en nombre de pages vues, en temps passé, etc.

Il a donc été possible de déterminer le trafic d’un site, et par conséquent le volume d’affichage des bannières, c’est-à-dire le nombre de fois où une page donnée contenant une bannière donnée était chargée (et donc vue) par un internaute. Cette mesure est la base de la mesure de la Pub sur le Net, on appelle ça une PAP (Page vue Avec Publicité). Les sites ont donc commencé à revendiquer un certains nombre de PAP par mois.

Parallèlement, les éditeurs de sites Web ont mis au point des outils leur permettant de gérer plusieurs bannières sur un même emplacement (ce qui avait déjà été réalisé en affichage 4x3 bien avant, mais en plus sophistiqué cette fois ci). Cela a permis de diversifier les annonceurs sur un même emplacement (pour éviter la routine et pour optimiser l'espace, et donc la rentabilité). Les éditeurs de sites Web ont donc pu commencer à facturer les annonceurs non pas à l’emplacement, mais à l’affichage. Au nombre d’affichages d’une bannière donnée. L’unité de base qui s’est imposée est de 1000 affichages. On a donc parlé de CPM (Coût Pour Mille). Ou coût à l'impression. Une impression équivalent à une PAP contenant une bannière donnée (vous suivez ?)

Aujourd’hui encore, beaucoup d’emplacements publicitaires sur Internet, notamment sur les grands portails et les sites à fort trafic, se vendent au CPM. A l'affichage, donc, comme à la TV.

L’inconvénient du CPM, c’est qu’il n’apporte aucune garantie à l’annonceur. Je paye 10 000 affichages, ils sont délivrés. Point barre. C’est la même chose avec la TV et les magazines me direz vous. Oui, mais Internet offre des possibilités de tracking que les autres médias n’offrent pas. Et ça les annonceurs l’ont compris très vite.

Ils ont commencé à mesurer les résultats de chaque campagne et le nombre de visiteurs envoyés par les sites sur lesquels ils faisaient de la pub. Pour ne garder que les meilleurs. Ils ont proposé aux autres sites de mettre en place un système qui n’était plus lié à l’affichage mais à la performance : au nombre de visiteurs envoyés.

Le meilleur moyen pour permettre à chacune des parties (Annonceur et Site Web) de contrôler les performances était de mettre en place un paiement au clic. C’est à dire à chaque fois qu’un internaute clique sur la bannière de l’annonceur. Ainsi le site Web comptabilise les clics. L’annonceur comptabilise le nombre de visiteurs envoyés par le site. Et on compare les résultats. Et on paye au visiteur envoyé (on suppose alors que qui dit "clic sur une bannière", dit "visite de l'internaute dans la foulée"). Le CPC (Coût Par Clic) était né !

Il est encore très répandu aujourd’hui. Il a été développé par les systèmes de pub de Google (Google AdSense et Google AdWords) et par l’invention du clic de validation ou clic forcé (lorsqu’un éditeur de site Web "force" l’internaute à cliquer sur une bannière pour pouvoir participer à quelque chose, par exemple une loterie gratuite en ligne).

Le CPC présente un avantage certain pour l’annonceur par rapport au CPM, car il permet de ne payer que la pub « utile ». C'est-à-dire lorsque l’internaute non seulement voit la pub, mais clique dessus. Ca a permis aussi à certains éditeurs de mettre en avant la qualité de leur audience plutôt que d’être payé simplement pour le trafic. A l’inverse, d’autres sites ont ainsi révélé à leur insu que leur trafic était important mais peu ciblé et donc pas forcément intéressant pour les annonceurs.

Le CPC est un bon compromis dans la pub sur le Net, car il permet un équilibre des risques et des performances.

Mais les annonceurs (et les régies ou agences car ce sont souvent elles qui réagissent) ont voulu aller encore plus loin dans le principe du paiement à la performance : puisqu’on peut mesurer jusqu’à l’acte final (achat, inscription, demande de doc, abonnement, etc.) pourquoi ne pas payer à l’acte ?

Cette prise de position est d'ailleurs en ce moment confortée par le problème de la fraude au clic ("je paye des gens pour cliquer sur des pubs". Dans des pays où les salaires sont très bas, comme l'Inde ou la Chine, ça peut être économiquement viable).

C’est ainsi qu’est apparu le CPA (Coût Par Acquisition) ou CPL (Coût Par Lead). Un Lead étant en langage de Pub sur le Net une action déterminée par l’annonceur (achat, inscription, demande de doc, abonnement, etc.).

Avantage pour l’annonceur : il est évident. On ne paye qu’au contact utile. L’annonceur ne prend aucun risque.

Avantage pour l’éditeur : A priori, il n’y en a pas vraiment. Ce sont même plutôt deux gros inconvénients qui sautent aux yeux :

1) L’éditeur de site Web prend tous les risques : si la bannière de Pub n’est pas bonne, si le produit n’est pas intéressant, si le prix n’est pas compétitif, si le site de l’annonceur est mal fait, etc. le Lead ne se fera pas. De nombreux paramètres qui ne dépendent pas du site éditeur peuvent faire échouer la vente et donc annuler la commission.

2) L’éditeur n’a plus aucune visibilité « à priori » sur la rentabilité d’une campagne. Avec le CPM c’était facile. Avec le CPC, les statistiques permettaient de déterminer à peu près le taux de clic sur une bannière, mais avec le CPA (ou CPL), c’est le brouillard complet.

En fait, le CPA (ou CPL) présente pourtant un avantage, et il n’est pas à négliger : il permet aux sites à faible trafic, aux sites perso, aux blogs, de faire de la pub et d’essayer d’en vivre. En effet, les annonceurs ne payant qu’au résultat, peu leur importe de connaître la taille et le trafic du site qui leur envoie un client ou un membre. Si un client est envoyé. Je paye. Peu importe le site. C'est sur ce principe que se développent de plus en plus de services permettant aux particuliers ou semi-pros de se lancer dans le Pub sur le Net, comme la boutique de Zlio dont je vous parlais dans un précédent post.

Le CPA a donc permis la généralisation rapide de la Pub sur le Net auprès d’acteurs qui, sur le Net comme sur les autres médias, n’auraient normalement pas eu accès à la Pub (essayez de créer votre magazine ou votre chaîne de TV et de démarcher des annonceurs !!!).

Pour cela il a cependant fallu décharger les annonceurs et leur régie d’une contrainte importante : la gestion d’une multitude de « fournisseurs », c'est-à-dire de sites Web qui font de la pub pour vous et qu’il faut payer.

En effet : avec le CPA, tout le monde peut faire de la pub, mais ça veut dire qu'en tant qu'annonceur, je dois gérer "tout le monde". Chaque site, chaque blog, chaque partenaire... Ca peut vite devenir une usine à gaz.

Comment faire pour optimiser tout ça ?

A suivre...

dimanche 22 octobre 2006

Majoration pour retard de paiement d'impôt

Vous vous souvenez au mois de Mai je vous signalais que j'avais payé l'IS en retard, à cause d'un malentendu entre mon comptable et moi.

Et ben ça a pas raté ! Il viennent de m'envoyer une majoration pour retard de paiement. Pas de pitié pour les petites entreprises qui démarrent ! Encore que l'inspectrice des impôts (en l'occurence, c'est une inspectrice) vous dirait que si, puisque la majoration est de 5% et non de 10 (sic). + les frais ce qui fait quand même plus de 1000 euros au total !

De quoi vous encourager à ne pas aller payer d'impôts ailleurs...

Mon comptable à cette fois-ci très vite réagit (c'est lui qui a reçu le courrier) en répondant par une demande de remise gracieuse, à mon nom, expliquant que "oui mais bon mais j'ai pas fait exprès et je recommencerai plus".

A suivre...

samedi 21 octobre 2006

Cambodia

Il faut que je vous parle du Cambodge. Sur mon autre blog, sûrement. Bientôt, sûrement. Je suis à la bourre.

En attendant vous pouvez déjà voir les photos de mon collègue et covoyageur Sim sur http://www.twip.org

(Sim c'est le mec qui essaie de descendre sur le dos, là, au milieu de la photo :D )

jeudi 19 octobre 2006

Euh... je... ben...

Pour ceux qui suivent ce blog depuis un moment, vous vous souvenez peut-être de mon publisher Australien (Gus) qui m'avait annoncé qu'il avait un cancer ? C'était en Octobre 2005.

Ben y a du nouveau et c'est pas des bonnes nouvelles... J'avoue que même si je le connaissais que par email, ça m'a foutu un coup et que je savais pas trop quoi dire à sa collègue (Fiona), qui me l'a annoncé. D'autant plus que j'ai aussi été surpris par la façon dont elle l'a annoncé, le contexte.

Je vous retranscris l'échange par email. Dites moi ce que vous en pensez :

"17/10/2006 - Fiona> Hi Bart,
just a gentle reminder invoice is due by 20th

rgds
Fiona

18/10/2006 - Bart> Hi Fiona,
Ok. I still haven't been paid for the September campaign.
I pay you asap.

Bart

19/10/2006 - Fiona> Please Bart as we had Gus pass away today, I am under a large amount of stress. Gus as you know wasnt well, he died in hospital today at 8am.

rgds
Fiona"

C'est plutôt direct comme formulation, pas vrai ? Mais c'est surtout le "Please" qui me gène. Fait-elle un lien entre la facture et le stress ? Que dois-je comprendre ?


"pass away" se traduirait en Français par "nous a quitté".

mardi 17 octobre 2006

Mesurer les effets d'une pub

J'ai parlé un peu plus tôt du tracking, qui permet de suivre les faits et gestes des internautes.

Il va donc permettre d'analyser l'attitude de l'internaute face à une pub. Mais pour mesurer quoi ?

Pour mieux le comprendre, rappelons les 3 temps de la pub :

On entend fréquemment les gens vous dire « Ah j’ai vu une pub géniale ». Et ils sont capables de vous la raconter dans les moindres détails. Mais quand vous leur demandez de quelle marque il s’agissait (ou parfois même de quel produit !), ils sont incapables de vous répondre !

Cette pub est sans doute « géniale » dans le sens ou elle a diverti le spectateur, comme aurait pu le faire un bon film ou un bon documentaire, mais en terme d’efficacité, elle est loin d’être géniale. Elle est même plutôt nulle. Elle n’a même pas atteint le premier objectif de la pub : « Faire Connaître ».

En effet, le premier objectif de la pub est de faire connaître un produit ou un service.

C'est-à-dire de faire prendre conscience à l’audience que ce produit ou service existe, est disponible. Imprimer son nom dans la tête des gens.

« Voici la nouvelle Skoda ». Tiens ? Skoda sort un nouveau modèle. J'ai retenu. Je connais.

Faire connaître c’est bien. Mais ça ne suffit pas. Si je roule en BMW, je suis bien content d’apprendre que Skoda sort une nouvelle voiture, mais ça ne va pas changer ma vie.

Le second objectif de la pub est donc très important, il s’agit de « Faire Aimer ». « Faire Aimer » doit être pris ici au sens large. Il s’agit de déclencher une réaction, de ne pas laisser indifférent, de marquer les esprits.

« Voici la nouvelle Skoda, elle est équipée en série de l’ABS et de 18 AirBags ». Ah. Intéressant. Skoda commence à produire des voitures qui peuvent m’intéresser.

Une pub qui arrive à créer une prise de conscience et de l’intérêt pour un produit ou service est déjà une bonne pub, au sens de l’efficacité commerciale. Mais l’objectif ultime, le but, la raison d’être de la pub, c’est d’atteindre le troisième stade : « Faire Agir ».

« Faire Agir », c’est amener l’audience à réaliser l’action souhaitée (achat, abonnement, souscription, etc.)

« Voici la nouvelle Skoda, elle est équipée en série de l’ABS et de 18 AirBags. Découvrez-la ce week-end chez votre concessionnaire ».

Pour la pub traditionnelle (TV, radio, magazines), difficile de mesurer l’efficacité de la pub, car elle ne permet pas d’accompagner l’audience jusqu’à l’acte de vente. Dans notre exemple, on peut dire que la pub a rempli son objectif si notre spectateur/lecteur/auditeur pousse la porte du concessionnaire Skoda le samedi matin. Charge au vendeur ensuite de conclure la vente.

Tandis que sur Internet, avec une pub, on peut aller jusqu’à l’acte d’achat et au paiement en ligne.

« Voici la nouvelle Skoda, elle est équipée en série de l’ABS et de 18 AirBags. Découvrez-la en ligne en cliquant ici. Commandez-la/achetez-la/essayez-la/etc. ».

On peut accompagner le vendeur jusqu'à la vente, et bien entendu, "tracker" toute l'opération.

Internet permet donc de rassembler en un seul endroit et en un seul moment les 3 objectifs successifs de la pub, et le tracking permet, lui, de mesurer l'ensemble des résultats obtenus par la pub lors des différentes phases, depuis l'exposition de l'audience au message jusqu'à l'éventuel achat et le paiement associé.

dimanche 15 octobre 2006

Réseau : Mettez vos contacts dans le journal

(J'ai passé la barre des 50 sur LinkedIn :) )

Pour une fois je pourrai dire : "Tiens le mec qui fait la une de BusinessWeek, je le connais".
C'est pas encore sûr. Et ça dépend un peu de vous :

Julien, le fondateur de JobEtudiants.net, fait partie des 15 jeunes (moins de 25 ans) entrepreneurs européens repérés par BusinessWeek cette année (au passage je trouve ça assez balaise !).

Sur leur site (en Anglais), ils présentent les 15 profils et nous proposent de voter.

Allez-y donc voir, et votez donc pour le "Français Môssieur" de service : Julien !

samedi 14 octobre 2006

La Pub sur le Net - Objectif de la Pub

Pour bien comprendre les caractéristiques de la pub sur Internet, il est important de rappeler l’objectif de la pub en général (tous médias confondus) et son principe de fonctionnement.

La pub a un objectif et un seul : vendre. Le but de la pub, sa finalité ultime, c’est d’aboutir à la vente d’un produit ou d’un service.

On pourrait donc la définir ainsi : Pub = toute forme de communication visant à vendre un produit ou un service.

Communication est à prendre au sens large : moyen mis en œuvre pour véhiculer de l’information.

Vendre est à prendre au sens : inciter la cible à acheter un produit ou souscrire à un service, s'incrire, s'abonner, visiter, etc. en un mot, donner de l’argent.

Ainsi par exemple, un courrier de Médecins du Monde ou de Reporters Sans Frontières est une publicité. La plaque d’un médecin qui précise qu’il est « ancien interne des hopitaux de… » et qu’il reçoit « sans RDV de telle heure à telle heure » est une publicité (s’il s’agissait simplement d’indiquer son cabinet, « Dr Robert Dupont » suffirait amplement). Le logo sur votre T-shirt est une pub qui claironne « il est pas beau mon Lacoste ? Achetez le même ! ». Etc. Etc.

La pub est donc un outil de vente. C’est pour cela qu’en Marketing on l’intègre parmi les éléments caractéristiques du Mix Produit, c’est-à-dire les éléments à prendre en compte lors du lancement d'un produit, puis lors de toute sa durée de vie, et qui vont faire la réussite ou l’échec du produit :

Product – Price – Promotion – Place

Product : le produit en lui-même, ses caractéristiques intrinsèques.

Price : le positionnement prix. C’est-à-dire le prix du produit par rapport à la satisfaction du besoin, à l’utilité, au bénéfice retiré, mais aussi par rapport à la concurrence.

Promotion : c’est la communication. C’est la pub.

Place : c’est la distribution. Comme va-t-on distribuer ce produit auprès de sa clientèle potentielle.

On parle de Produit, mais cela couvre aussi les Services. Tout produit ou service doit donc tenir compte de ces 4 paramètres.

Des 4, la pub est sans aucun doute le plus difficile à mettre en œuvre :

Le Produit est défini une fois pour toutes. Il peut bien sûr évoluer mais au moment du lancement on peut supposer qu’il est fin prêt, opérationnel.

Le Prix est fixé en fonction d’éléments précis et mesurables, tels que le coût de fabrication, les prix de la concurrence. Certains paramètres plus subjectifs peuvent entrer en considération comme le prix psychologique, le pouvoir d’achat de la cible, etc. mais quoi qu’il en soit on détermine un prix et on essaye de s’y tenir.

Les circuits de Distribution dépendent en général des caractéristiques du produit ou service que l’on commercialise. On peut avoir plusieurs possibilités et être amené à faire des choix, mais ces possibilités se comptent en général sur les doigts de la main.

Pour la Communication, la pub, tout est possible, tout est ouvert. Seul le budget viendra limiter l’imagination des créatifs. Le budget, mais aussi le retour sur investissement !

Et voilà l'un des intérêts de la pub sur le Net : on peut plus facilement mesurer le retour sur investissement. Comment ?

(Si ça vous fait chier dites le moi et on change de chaine)

mercredi 11 octobre 2006

La Pub sur le Net - L'Internet, un média différent

Commençons par une évidence : l’Internet est un nouveau média. C'est-à-dire un nouveau support de communication qui vient compléter l’offre déjà existante (TV, radio, magazines…). A ce titre, la publicité sur Internet est semblable à celle des autres médias. Elle est apparue naturellement, car qui dit audience, dit possibilité de faire de la pub, et en termes stratégiques (pourquoi faire de la pub) et opérationnels (comment faire de la pub), elle répond aux mêmes caractéristiques que la pub sur les autres médias.

Pourtant, l’Internet ayant dans un premier temps été développé quasi exclusivement par des passionnés, souvent bénévoles, des profils techniques, des ingénieurs, la pub a tout de suite été mal vue sur le Net. Plus encore que sur les autres médias.

Rappelons quand même aux farouches anti-pubs, que sans la pub sur le Net, Yahoo! n’existerait pas. Hotmail non plus. Pas plus que Google ou MSN messenger. Pas d’AuFeminin.com, pas de Boursorama, ni de JournalDuNet. Et plein d’autres encore. La pub a permis un développement rapide du Net et une ouverture à une large audience. Evidemment, comme tout « outil », la pub a été, est et sera encore utilisée parfois de manière abusive et déplacée. Ce n’est pas la faute de la pub mais de ceux qui l’utilisent. (Et il faut bien reconnaître qu'Internet facilite les abus et détournements en tout genre, tel que le spam pour l'email ou le pishing pour les sites Web. Doit-on pour autant faire porter la faute aux outils ?)

L’Internet est un nouveau média, c’est clair, mais aussi un média différent. Il présente une première caractéristique nouvelle et essentielle : l’interactivité. Le terme est un peu galvaudé et véhicule plein de clichés, tellement on nous parle depuis un moment de l’interactivité et des possibilités qu’elle offre, mais il est déterminant :

Le Net apporte à son audience cette possibilité d’interagir, de réagir, de se manifester. L’internaute n’est pas un simple spectateur, il est spectateur-acteur.

Seconde caractéristique importante, et liée à la première, cette interactivité peut être tracée, mesurée, analysée (on parle de « tracking ») et permettre à ceux qui disposent de ces outils d’analyse de suivre les faits et gestes des internautes, qui plus est en temps réel.

La pub sur le Net a donc bénéficié de ces caractéristiques et en a profité pour se développer en les exploitant au maximum. C’est pour cela que la pub sur le Net, bien que similaire dans son approche à la pub sur les autres médias, est différente dans son application, sa réalisation. La pub sur le Net propose des avantages uniques, incompatibles avec les autres médias. En ce sens, la pub sur le Net est en train de révolutionner la Pub. Elle doit donc être considérée à part, en marge de la publicité traditionnelle.

Pour résumer : la pub sur le Net complète la campagne de pub générale de l'annonceur, mais peut et doit être envisagée différement de la pub sur les autres médias. Il ne s'agit pas de décliner la même campagne off-line et on-line. Au contraire, il est capital de concevoir des campagnes spécifiques au Net, dans leur création et dans leurs objectifs.

Enfin et c'est aussi très important, la pub sur le Net ouvre le marché de la pub à un nombre incalculable d'annonceurs qui n'avaient pas les moyens ou les ressources pour faire de la pub sur les autres médias, ou qui tout simplement n'existaient pas avant l'arrivée du Net.

A suivre...

Fallait pas l'inviter

Rongeurs, rat, souris, hamster russe, hamster doré, hamster roborovski , hamster chinois, gerbilles, gerbille de setzer, gerbille à queue touffue, gerbille à queue grasse, mérione, chien de prairie , spermophile , sousliks, écureuil de Corée, écureuil volant.

Vous aimez les rongeurs ? Vous aimerez la Boite à Clics ! :D

mardi 10 octobre 2006

CA de Septembre

Le CA de Septembre aurait pu être pas mal du tout. Finalement grâce à une commande de dernière minute d'un bon client, il est très bon ! :)

Chaque mois je me dis que "ça va être difficile ce mois-ci" et chaque mois j'ai de la chance. Non, franchement, de la chance. Bon c'est vrai que comme dit un pote, la chance on la crée. Mais quand même, depuis le début j'ai plutôt eu du bol. Pourvu que ça continue.

Sauf que là, Octobre s'annonce particulièrement difficile. Réduction des commandes, critères de plus en plus sélectifs, prix tirés.
Franchement si Octobre est aussi bon que Septembre, c'est qu'y a pas de justice ! ;-)

Si comme moi vous avez été élevé à Pif Gadget, cliquez ici. Sinon, cliquez .

dimanche 8 octobre 2006

La boite à clics

Ma 3e activité c'est une activité de type agence de pub. C'est de loin mon activité la plus importante puisqu'elle constitue de 75 à 85% de mon CA et de mes revenus chaque mois :

(le clic vient d'ici)

- L'édition de sites rapporte une centaine d'euros ;
- La Loterie génère entre 15 et 25% de mon CA. A noter que je ne suis pas employé de cette loterie. Je facture les annonceurs avec la Boite à Clics et suis ensuite refacturé par la loterie, un peu comme une licence ;
- L'activité "agence de pub" constitue l'essentiel de l'activité et des revenus de la Boite à Clics et donc de son gérant.

Cette activité consiste à trouver des supports (sites Web, appelés aussi "éditeurs") pour des annonceurs. Jusque là, rien de très Web 2.0 :), sauf que je suis plus particulièrement spécialisé dans la pub à la performance d'une part et dans l'international d'autre part (c'est à dire quand un annonceur commence à s'intéresser à d'autres marchés que son marché domestique).

Je me suis rendu compte qu'il y avait effectivement un vrai besoin à l'international, et qu'il fallait être capable d'offrir à un annonceur, via un seul contact, une véritable couverture internationale.

Ca n'a l'air de rien, car dans l'esprit de gens (et dans le vôtre, donc, j'en suis sûr) le Web est par définition international. Sans doute, en théorie, mais dans la pratique en fait, le Web est quasiment aussi "national", local, que la télé ou la presse.

Réfléchissez aux sites que vous fréquentez régulièrement : combien ne sont pas en français ? Quand vous souhaitez acheter, allez-vous sur des sites allemands sous prétexte que ça peut être moins cher ? Utilisez vous eBay pour faire des enchères aux Etats-Unis ? Sur Meetic, choisissez vous de rencontrer des japonaises ? Vous suivez plutôt l'actu sur TF1.fr ou sur CNN.com ? etc.

Certains se démarqueront sans doute, mais la plupart des Français consultent avant tout l'internet français. Et c'est la même chose dans tous les pays, ou du moins dans tous les pays développés (dans les pays sous-développés ou en voie de développement on consulte plus le Web international, faute de sites locaux, mais ce ne sont évidemment pas les pays qui intéressent les annonceurs européens).

Pour toucher par exemple des internautes italiens, il faut annoncer sur des sites italiens, car hormis les grands sites internationaux type Yahoo!, Hotmail ou MSN, la plupart des sites à forte audience en Italie sont des sites purement italiens qui n'existent qu'en Italie. Et c'est la même chose partout.

Du coup, pour un annonceur, il est souvent difficile de connaître les supports locaux dans chaque pays où il souhaite communiquer.

Mon premier rôle est donc d'identifier des sites web locaux dont l'audience est suffisament importante et dont la cible correspond à celle de mon client.

Mon second rôle est de convaincre ces sites web d'accepter la pub de mon client.

"Convaincre les sites web ?'' allez-vous me dire. "Mais il n'y a pas besoin de les convaincre. Il suffit de les payer". Ben non justement. Sur Internet c'est un peu plus compliqué que ça. Surtout que comme je le disais précédemment, je suis plus spécialisé dans le pub à la performance. Mais pour comprendre ça, il faut connaître la Pub sur le Net.

Ca sera d'ailleurs l'objet de mon (mes) pochain(s) post(s).

A suivre...

jeudi 5 octobre 2006

Loterie en ligne

Ma seconde activité, c'est d'être responsable marketing et commercial d'une loterie gratuite sur Internet, en France. Avant de préciser davantage, je vous rappelle le principe de ces loteries.

L'idée de base est géniale. Elle vise à répondre à la double problématique de tout site web visant à gagner de l'argent avec la publicité :
1) faire venir des visiteurs en masse et régulièrement ;
2) faire en sorte qu'ils cliquent sur les bannières de pub.

Certains ont donc eu la bonne idée autour de 1999-2000 de créer des loteries gratuites : le principe est simple. L'inscription est gratuite. On choisit ses numéros sur une grille, comme au loto, et pour valider sa grille, il faut cliquer sur l'une des 3, 4 ou 5 bannières de pub affichées à côté de la grille. On a 1 chance par jour et on peut donc revenir tous les jours. Les probas de gagner sont évidemment extrèmement faibles, mais c'est gratuit, c'est rapide, et il y a quand même, en fonction des loteries, entre 100 000 et 1 million d'euros à gagner !

En tant que responsable marketing sur la France, mon rôle a été de lancer cette loterie (allemande) sur le marché français et est maintenant de faire de la pub (à moindre coût) pour faire venir constamment de nouveaux joueurs (il y a un phénomène de lassitude qui fait qu'il faut en permanence renouveler la base, et puis il y a toujours de nouveaux internautes à aller chercher).

En tant que responsable commercial sur la France, mon rôle est de commercialiser l'espace publicitaire (les 4 bannières de validations) et le fichier d'adresses. Oui, le fichier d'adresses car on demande à chaque joueur au moment de l'inscription de donner un certains nombre d'infos dont son nom, son prénom, son age, etc et on lui demande s'il accepte de recevoir des emails promotionnels.

On peut ensuite commercialiser la base des emails opt-in (les emails des personnes acceptant des emails promotionnels). Je rappelle à toutes fins utiles que nos emails ne sont pas des spams car 1) ils sont clairement identifiés comme provenant de notre site. 2) Chaque internaute a la possibilité sur chaque email de se désabonner et de ne plus en recevoir.

Pour terminer quand même sur l'idée géniale de la loterie, bien sûr ce n'est pas la panacée. On ne répond pas complétement à la double problématique évoquée. D'abord parce que les internautes viennent mais ne restent pas, il n'y a pas de contenu autre que le jeu. Donc l'exposition est limitée. Ensuite car on les oblige à cliquer sur des bannières. Ce n'est pas une action volontaire. On appelle d'ailleurs ça un clic forcé, ou clic de validation.

Ce clic a moins de valeur qu'un clic "non forcé", et cela se retrouve aussi évidemment dans sa valeur marchande. Une bannière de loterie vendue au clic se vend moins cher qu'une bannière sur un site de contenu, type un portail.

En revanche le clic de validation a de gros intérêts pour certains annonceurs ou à certains moments de la vie d'un site :
- il permet de générer rapidement un important volume de trafic sur un site donné (création du site web d'une marque pas encore présente sur le net, jeu concours, promotion, etc...) ;
- il permet à des sites sans notoriété de se faire connaître (l'internaute clique sur une bannière simplement pour valider sa grille, mais reste sur le site car il est intéressé. Alors qu'il n'aurait jamais fait la démarche volontaire de visiter ce site).

Dernier point : gagne-t-on vraiment à ces loteries en lignes ? Oui. En tous cas à celle qui respectent la loi. La loterie est d'ailleurs assurée pour son lot à 1 million d'euros. (et ne me demandez pas de vous faire gagner, tout est en Allemagne, bien planqué !)

A suivre avec la 3e activité...


lundi 2 octobre 2006

C'est quoi le job ?

Et si je vous parlais un peu de mon job ? C'est vrai, la plupart d'entre vous, dont certains suivent mon blog depuis longtemps maintenant, savent que je bosse dans la pub sur le net, mais c'est tout.

Il serait peut être temps que j'explique plus concrètement ce que je fais. Et puis ça m'amènera peut-être des contacts utiles, vu que la période est aux contacts.

Grosso modo, j'ai 3 activités distinctes mais complémentaires : l'édition de sites Web, la gestion commerciale d'un site de loterie gratuite et la vente de pub.

Je vais commencer par le plus simple : l'édition de sites.

Avec mon associé Sim, basé à Chiang Mai, Thailande, nous créons des sites en vue de commercialiser les espaces publicitaires. Nous avons déjà plusieurs sites à notre actif, tous toujours plus ou moins en état de développement.

Cette activité ne rapporte pas d'argent pour l'instant ou à peine (une centaine d'euros par mois) et n'est pas directement liée à la boite à clics. Mais comme nous n'avons pas encore créé de société propre à cette activité, j'utilise parfois la boite à clics pour facturer. Notamment lorsqu'il s'agit de créer des sites Web.

En effet, étant éditeurs de sites, nous sommes capables de créer des sites. Nous proposons donc ce service.

Mais ça reste une activité marginale. Moi, ça me permet pour l'instant surtout de mieux comprendre la problématique des éditeurs de sites Web qui veulent tirer des revenus de la publicité.

A suivre, avec les 2 autres activités...