samedi 29 octobre 2005

C’est quoi un “clic” ?

C’est quoi un “clic” ?

C’est vrai que tout le monde parle du “clic” : “Cliquez ici”, “Achat en 1 clic”, “Click and Mortar”… mais au final, c’est quoi un “clic”?

(Je comprends que le sujet n'intéresse pas forcément tout le monde, aussi je vous propose en alternative un sujet sur la Papouasie Nouvelle-Guinée, dont on ne parle plus assez je trouve).

Voici ma définition :

Un “clic” (click en Anglais et du coup dans de nombreuses autres langues dont l’Allemand et l’Italien. Pour une fois ce sont les Français qui ont fait simple et les Anglais qui ont compliqué la chose :) ).

Un “clic”, donc, c’est l’action de positionner le curseur de la souris sur un élément et d’effectuer une pression sur le bouton gauche de la souris (“clic” standard) afin de déclencher un événement [Fig.1], ou sur le bouton droit de la souris (“clic droit”) afin de choisir dans un menu déroulant un événement à déclencher (puis effectuer un “clic” standard pour le déclencher réellement) [Fig.2].


[Fig.1] "clic". On voit rien, évidemment puisque le clic vient de se produire.

[Fig.2] "clic droit"






Le “clic”sert donc à déclencher un événement. En cela il doit entièrement son existence et sa raison d’être au “lien hypertexte”, le “lien hypertexte”, ou “hyperlien”, étant, je vous le rappelle, un texte ou une entité (image, objet, etc.) “cliquable”, c’est à dire sur lequel ou laquelle on peut effectuer une action de la souris pour déclencher un événement (changer de page, afficher une nouvelle page, fermer une page, envoyer un email, etc.).

Sans “lien hypertexte”, on cliquerait dans le vide. Ce qui arrive quand même parfois…

- Et “le clic manquant” c’est quoi ?
- Très bonne question ! :)

Le clic manquant” (TheMissingClick en Anglais, et seulement en Anglais !), c’est le chainon manquant du Web, le clic ultime.

Dans MA théorie de l’évolution de l’internaute à travers les pages (Web. Darwin n’a rien à voir là dedans !), le clic manquant est celui qui sépare l’annonceur des internautes.


jeudi 27 octobre 2005

L'email politique

(Ce post aurait dû être publié il y a au moins 2 semaines, mais je n'avais pas eu le temps de me poser pour le rédiger... :)
Pour ceux qui n'ont pas suivi l'affaire Sarkozy, rappel des faits ici)

Pour mon business de vendeur de clics, je suis abonné à quasiment tout ce qui existe en mailing list, en France et même à l'étranger (mais surtout en France car c'est là que je surfe le plus).

Dès que je vois un concours, une newsletter, une offre gratuite... je m'inscris, je m'abonne. "Acceptez-vous de recevoir les offres promotionnelles de nos partenaires ?" Of course ! C'est même le principal intérêt. Je fais de la veille concurentielle :) Je veux savoir qui envoie quoi, quand et comment.

Je suis équipé : j'ai au moins 2 adresses emails quasi complètement dédiées à ça.

Du coup quand je démarre Outlook le matin je garde le doigt scotché sur la touche "Suppr" pendant un petit moment ! (Je lis quand même le sujet, et si ça m'intéresse, hop ! J'ouvre).

Et bin pourtant allez savoir pourquoi, j'ai pas reçu l'email de promotion (de propagande ?) que Sarkozy a pourtant envoyé à près de 3 millions d'internautes !!!

3 millions d'adresses email et aucune a moi !!! Ca c'est de la chance ! :) Faudra quand même que j'aille voir mon adresse a LaPoste que je ne consulte plus... On sait jamais.

Plus sérieusement, ça pose malheureusement encore quelques problèmes avec l'emailing et sa perception auprès du grand public :

- SPAM politique. Et voilà. Le mot est lâché ! Même si ces adresses ont été légalement achetées auprès d'organismes qui déclarent leur base à la CNIL, il y en a encore pour dire que c'est du SPAM ! Autant je comprends qu'on n'apprécie pas de recevoir ce genre d'email, autant on ne peut pas parler de SPAM.

Certains assurent qu'ils ne sont abonnés à aucune liste et n'auraient pas dû recevoir cet email ?
Je me permets d'en douter. Mon expérience dans la gestion de base de données avec le site de jeu dont je m'occupe (il faudra que je fasse un post sur les sites de jeux en ligne) m'amène à en voir des vertes et des pas mûres :
de temps en temps quelqun m'envoie un email incendiaire en disant qu'il ne s'est jamais inscrit à notre jeu et qu'il souhaite donc immédiatement cesser de recevoir nos emails, sinon...

Or quand je rentre l'adresse email de cette personne dans la base, je m'aperçois que j'ai non seulement son nom, son prénom, son adresse email, mais aussi son adresse postale, sa date de naissance et parfois son numéro de téléphone !!! Mais il ne s'est jamais inscrit !!! Le pire c'est que je pense que certains sont sincères. Ils oublient. Qui se rappelle de toutes ses inscriptions ???

Reste que ce n'est pas du SPAM. Et qu'ils peuvent d'eux-même se désabonner à tout moment.

Même chose ici : je conseille à tous ceux qui n'ont pas apprécié cet email de se désabonner illico de la mailing list qui est à l'origine. Et hop ! Si malgré ça ils continuent à recevoir des emails de la part de la même mailing list, là il y aura SPAM.

- L'autre problème c'est bien sûr celui de l'email politique ou religieux. Autant tout le monde s'en fout de recevoir un email sur la dernière Peugeot. Même si on est pas client ou qu'on aime pas la marque (D'ailleurs qui pourrait ne pas aimer Peugeot ???). Autant en matière de politique et de religion c'est plus touchy.

Certains ont tout de suite dit : "il faudrait préciser : acceptez-vous de recevoir des emails d'ordre politique ou religieux ?". Mais quand bien même. Il faudrait savoir de quel bord politique ou religieux est l'internaute avant de lui envoyer un email. (Oui je sais, on peut toujours essayer de convaincre un communiste de voter à droite, ou un musulman de se convertir au catholicisme, mais je ne pense pas que l'email soit le meilleur outil pour le faire !)

Or si les internautes acceptent facilement de répondre à un questionnaire sur leur age, leur adresse, leurs centres d'intérêt et leur équipement ménager, ils auraient en revanche beaucoup plus de mal à déclarer pour qui ils votent ou quelle est leur relation avec la religion.

D'ailleurs, je vois d'ici le questionnaire :
- Pour qui avez-vous voté lors des dernières élections présidentielles ?
- Etait-ce un choix délibéré ou par défaut ? :)
- Etes vous socialiste ? Si oui quelle micro-tendance ? :)
etc...

Non je crois que la solution est plutôt en amont. Bien choisir son audience. Cibler.

Dans ce cas précis il me semble qu'il aurait fallu choisir des bases dont l'audience est à priori en adéquation avec le message. Des journaux comme le Figaro par exemple, ou la Tribune. Des sites boursiers, des sites immobiliers, que sais-je moi ?

Ca ne sert à rien d'envoyer cet email aux abonnés de la newsletter de l'Huma...

Apparement Sarkozy, lui, s'est pris pour une grande marque et a choisi de ratisser large.

Avec le résultat qu'on connait...

Encore un sale coup pour l'email marketing ça... Vais me coucher moi tiens.

mercredi 26 octobre 2005

L'email a 34 ans


L'email a 34 ans !

C'est ce que nous apprend un gars de chez Google qui en profite pour faire de la pub pour Gmail (article en anglais).

L'email est né en 1971.
Comme moi !
Pas étonnant qu'aujourd'hui j'en sois réduit à vendre des clics et des adresses emails :)

(Le dessin en haut à droite vient de )

Et vous ? Quel age aviez-vous quand cette petite révolution a commencée ???


PS : Réponses en retard :
ben> l'île de la Réunion ça me tente bien (pour les vacances ! :) )
carine> ta com dès que mon site en Italien me rapporte des sous !!!

dimanche 23 octobre 2005

Dilemme déontologico-commercial

Me voici confronté à un sérieux dilemme déontologico-commercial : J'ai récemment gagné un contrat sur l'Australie, grâce à un partenaire local qui a développé son propre réseau.

Tout marchait bien au début et puis, depuis quelques temps, l'activité à ralenti et mon contact est devenu de plus en plus difficile à joindre.

De l'autre côté, mon client anglais, content au début, s'impatientait de plus en plus et demandait des explications. Et puis voilà, l'explication m'est tombée dessus il y a une dizaine de jours (un samedi) : mon contact australien m'annoncait qu'il avait un cancer et qu'il était opéré la semaine suivante. ... J'ai répondu par un petit message de sympathie et n'ai bien sûr pas osé de demander ce qu'il advenait de notre partenariat pendant ce temps.

Depuis, plus de nouvelle. J'ai finalement averti mon client anglais, qui m'a répondu assez froidement que c'était bien dommage, mais que j'avais sûrement plusieurs contacts en Australie.

Ben non. Et puis surtout, d'un côté ça m'embête de le relancer. De l'autre ça m'embête aussi de passer le business à quelqun d'autre. Je lui ai envoyé un nouvel email avant hier en demandant des nouvelles (sur sa santé, pas sur le business) mais toujours rien...

Du coup j'essaie quand même en parallèle de développer de nouveaux partenariats là-bas, mais bon...


"La vie n'est pas un long fleuve tranquille..."

vendredi 21 octobre 2005

Business à Hong-Kong

C'est pas après seulement 6 jours à Hong-Kong que je vais m'improviser expert en business là-bas, mais ce séjour m'a inspiré quelques réflexions sur le business à Hong-Kong et en Chine en général :

- l'espace : l'espace vaut de l'or à Hong-Kong et sans doute est-ce la même chose dans les autres grandes villes de Chine.
Comme je le disais dans un précédent post, je n'ai jamais vu un endroit, à part Monaco, où tant d'immeubles étaient collés les uns aux autres et où tout était fait pour gagner de la place. Les bureaux et les commerces doivent coûter relativement chers. Et l'espace doit être difficile à rentabiliser ! Et c'est pas prêt de s'arranger ! D'après le GDR, 150 chinois franchissent chaque jour la frontière entre la Chine continentale et Hong-Kong ! La population va quasi-doubler dans les 10 ans !
Cela dit il reste encore de la place dans le sud de l'ile et dans les nouveaux territoires, mais bon...

- l'anglais : on s'attendait vraiment à une ville beaucoup plus anglophone. C'est vrai qu'on a pas vraiment rencontré l'élite, mais pour un endroit qui a si longtemps était britannique, on pensait que tout le monde comprenait et parlait à peu près l'anglais. Et ben on en est loin, très loin.

- les transports : ça par contre c'est très positif. Les transports sont efficaces et modernes, notamment le métro et le nouvel aéroport.

- la position de Hong-Kong : est assez centrale finalement en Asie. Pas loin de la Chine, du Japon, de la Thailande, du Vietnam et de Singapour.

Enfin bon... moi je dis ça, je dis rien...

mercredi 19 octobre 2005

Hong-Kong la pragmatique

"Gain de place, gain de temps, gain d'argent" semble être le crédo d'Hong-Kong.

Gain de place : les immeubles s'entassent. Les halls d'immeuble sont réduits à leur plus simple expression. Même les halls des grands hotels sont exigus. Les rues sont souvent étroites. Toute la place est dédiée au commerce, aux boutiques, aux restaurants...

Gain de temps : les transports en communs sont ultra-performants. Il y a toujours un bus, un métro, un train, un ferry, un tram ou un taxi pour vous emmener là où vous voulez. Ils traversent la baie en un clin d'oeil, vous emmènent dans les iles toutes les 30 minutes, vous transportent à l'aéroport en moins d'une heure... C'est rapide, moderne (voir ultra-moderne pour le métro, même s'ils conservent aussi le tram historique et les ferries de la grande époque pour les touristes) et efficace.

Gain d'argent : tout est tourné vers le business et tout le monde a quelquechose à vendre. On ne vient pas de toute la Chine à Hong-Kong pour se la couler douce :)
Les centres commerciaux pullulent, les boutiques sont ouvertes jusqu'à 22 ou 23h, on vend dans la rue, on vous sollicite en permanence... Tout est disponible, partout, tout le temps...

dimanche 16 octobre 2005

Hong-Kong (suite)

Hong-Kong ressemble finalement plus à un mélange entre New-York (pour la hauteur des buildings) et Monaco (pour leur densité et la proximité de la mer) ! Avec un GROS côté Chinois en plus :)

Mais je n'ai jamais vu autant d'immeubles aussi hauts et aussi collés les uns aux autres. On dirait que tout a été construit n'importe où, n'importe comment.

Les immeubles ultra modernes cotoient de véritables cages a lapins, les hôtels prestigieux sont à côté des GuestHouses minables, la population est multi-ethnique (chinois, occidentaux, indiens, noirs...) et speedée (on n'est pas au pays du sourire là), la chaleur étouffante et la circulation très dense et polluante (et il ne vaut mieux pas être un piéton ici).

Heureusement la baie de Hong-Kong donne un peu de charme et de caractere à l'ensemble.
Et puis certains quartiers un peu chics sont plus propices à la marche et plus agréables à vivre.

Quant au salon de l'électronique, il est malheureusement (c'était a prevoir) très orienté "Fabricants/Acheteurs" et peu orienté "Services".
On y trouve à peu près tous les produits qui contiennent de l'électronique, des chargeurs de piles aux aspirateurs, en passant par les cafetières, les prises électriques, les écrans, les gadgets lumineux, les montres, les climatiseurs, les appareils photo, les téléphones, etc...

Evidemment la plupart des fabricants sont chinois et la plupart des acheteurs sont occidentaux.

A suivre...

jeudi 13 octobre 2005

Hong-Kong





Il y a des noms de villes qui me font voyager... Rien que de les prononcer.

Ce fut le cas de Nassau (Bahamas), Papeete (Tahiti), New-York, Sydney, Bangkok... et c'est encore le cas de Honolulu, Rio ou Hong-Kong.

Demain c'est Hong-Kong !
Que j'imagine grouillante comme Bangkok et moderne comme Tokyo... Avec un peu de Chine en plus... Et une culture anglo-saxonne. Quel melange !

On (mon partenaire pour le business en Asie et moi) n'y va pas que pour le tourisme, on y va aussi pour Hong-Kong Electronics Fair, dans l'espoir de rencontrer des acteurs du e-Commerce et de la pub sur le Net. Et puis recolter des infos pour notre portail sur la Chine. Et peut-etre trouver des partenaires...

6 jours : du 13 au 19 octobre. Voyage inclus (4h d'avion de Bangkok). Pas le temps de se laisser aller.

A suivre...

mardi 11 octobre 2005

Censure sur Blogger ?

C'est marrant mais juste après mon post sur l'industrie du disque, mon blog ne s'affichait plus.

C'est à dire que la page se chargeait sur l'URL http://maboite.blogspot.com/ mais la page était blanche. Et tout en bas il y avait écrit "Terminé". Genre "C'est bon c'est fini" et y avait rien.

C'est la première fois que ça m'arrive. J'ai supprimé le post en question et mon site s'est affiché à nouveau quelques heures après.

J'ai reposté le post (oui c'est pas très beau comme style, je sais...) mais en enlevant le nom propre cité, pour voir. J'en suis là.

Peut-être suis-je parano mais en ces temps de contrôle-répression-soumission, ça ne m'étonnerait qu'à moitié qu'il y ait des filtres très actifs !!!

Ai-je tort ?

A suivre...

samedi 8 octobre 2005

Partenaire particulier

Je continue à développer mon réseau de partenaires.

Mais je développe maintenant un nouveau type de partenaires : ce ne sont plus des apporteurs d'affaires (d'annonceurs), mais des apporteurs de Publishers. Des apporteurs de Sites Web, quoi.

En effet, plutot que de passer mon temps a essayer de trouver et de convaincre les responsables de sites webs partout en Europe, qui ne parle pas toujours anglais, j'essaie de m'appuyer sur des partenaires locaux (indépendants, éditeurs, webmasters...) qui connaissent bien le marché et la langue.

En contre-partie il y a une belle com. bien sur :)

Si vous connaissez ce genre de profil en Allemagne, Belgique, Hollande, Pologne... Je suis preneur !!!

Oui, vous aurez droit à votre com. aussi :)

vendredi 7 octobre 2005

L'industrie du disque emmerde le net (ou l'inverse)

Tous les matins, la première chose que je fais, après le p'tit dèj (ou pendant !) c'est lire la newsletter du Journal du Net (certains lisent le Figaro, le Monde ou les Echos, moi c'est le JDN. Et Yahoo actu. Les temps changent...).

Je ne lis pas que ça d'ailleurs, je lis aussi la newsletter de neteco.com, celle de CB news, celle de 01.net actu et puis celle de Boursorama (au cas où je me remettrais sérieusement au boursicotage infantile, comme je le faisais avant de connaître l'ascension vertigineuse puis la dégringolade de l'action de Multimania, puis la catastrophe boursière qui suivit).

Pour lire tout ça il faut quand même survoler rapidement sinon on ne fait plus que ça (comme les lecteurs des quotidiens cités :) ).

Bref, en général je survole, mais ce matin je me suis arrêté sur une news qui m'a un peu surpris et même, je dois dire, énervé : les auteurs d'un site Web condamnés à 6 mois de prison avec sursis et 20 000 euros d'amende car ils reproduisaient les paroles des chansons et les tablatures !!!

Eh, déjà, si tous les chanteurs mettaient les paroles des chansons dans les CD y aurait pas besoin d'aller les chercher sur le Net !

Et puis ces gens là ne vendent pas les paroles. Non. Ils vivent de la pub qu'ils mettent sur leur site.

Mais ce qui m'énerve le plus c'est que tout le monde sait très bien qu'il y a plein d'abus sur le Net et que celui là me parait mineur, et que comme pour les téléchargements on tape sur des gens au hasard et de manière assez injuste. La preuve, tapez "paroles de chansons" sur Google. Il en reste ! Pourquoi ils attaquent pas tout le monde ???

Après le téléchargement, les paroles de chansons, et après ? Pourquoi pas tous les bloggeurs qui mettent de la musique sur leur blog. Ils ne payent pas la SACEM eux ???

J'avais envie ce matin de dire un gros "merde" à l'industrie du disque dont le passe-temps favori semble d'être de faire chier les internautes et diaboliser le Net.

Et qu'on ne vienne pas me dire que ces gens là défendent les artistes !!! Y a qu'a voir le nombre d'artistes en procès avec leur maison de disque !!! Ou les mecs comme Alain Chamfort qui n'ont pas de maison de disque (je ne suis pas fan, mais comment justifier que des crétins de la Star Ac aient une maison de disque et pas lui ?). Non, ils essaient juste de récupérer un max de pognon pour compenser leurs ventes de CD.

Bref, je trouve qu'il y a des choses plus urgentes à réguler sur le Net que les paroles de chansons et les sonneries pour mobile. Et que l'industrie du disque ferait mieux de réfléchir à son propre business...

Bon voilà, ça c'est fait. Quoi d'autre dans l'actu du jour ? :)

mardi 4 octobre 2005

Le CA de Septembre

Septembre s'annonçait retrospectivement morose (cf mon précédent post) en terme de Chiffre d'Affaires. Je m'attendais à mon pire mois depuis le début de l'année, de loin.

Les premiers chiffres confirmaient cette tendance, et puis tout à coup... Un rapport d'un client me donne des chiffres auxquels je ne m'attendais pas !!! Un de mes publishers (sites web) a très bien marché sur Septembre et me sauve mon mois !

Autre bonne nouvelle, en terme de marge, je suis à 50%, contre 30 à 40% maximum les autres mois. (un cas d'école :) quand les volumes se réduisent, augmentez les marges !).

Bref, Septembre sera le plus mauvais mois en terme de CA (et encore, pas de très loin) mais meilleur qu'Août et Mai en terme de bénéfice. Joie !
(ce petit bonhomme vient le )

C'est presque un jeu de découvrir chaque mois le CA et le bénéfice réalisé. Je consulte les rapports, je cumule les chiffres, j'additionne, je multiplie, j'ajuste le cours de la Livre...

J'ai évidemment déjà une petite idée de la tendance, mais un résultat meilleur ou moins bon d'un côté ou de l'autre peut vite faire pencher la balance.

Enfin... pour l'instant ça "m'amuse" car je ne dépends pas encore financièrement de l'argent qui rentre chaque mois, mais quand ça sera le cas...
Bah, ce sont les joies de l'entrepreneuriat !
("Entrepreneuriat", Berk ! ce mot n'est pas beau je trouve. Et pourquoi "neuriat" d'abord ???)

dimanche 2 octobre 2005

Bienvenue en Octobre

Le mois de Septembre qui vient de se terminer ne restera pas dans les annales sur le plan du Chiffres d'Affaires (en revanche sur le plan personnel, quel mois de transition !).

Mais Octobre s'annonce plus prometteur : un nouveau client, et peut-être d'autres ; un nouveau partenaire en Italie, un autre en Suède ; un nouveau focus sur le site Web (optimisation de la traduction et du référencement) et plein d'autres projets.

A suivre...


(j'ai trouvé cette image )